Il y a des jours où la terre déroule le manteau de son âme jusqu'à l'infini.
On peut alors venir s'asseoir et contempler l'immensité de l'espace, les mouvements perpétuels des nuages.
Lorsque le chant si laiteux du ciel se met au diapason de notre propre incertitude, on peut surprendre parfois l'âme triste du vent, sa mélancolie profonde.
Sans le moindre rayon de soleil, on pourrait penser que l'ombre a vaincu la lumière.
Pourtant, la lumière vient de partout, elle inonde les coeurs, fontaine jaillissante des sourires, douceur des moments voyageurs.
On peut alors venir s'asseoir et contempler l'immensité de l'espace, les mouvements perpétuels des nuages.
Lorsque le chant si laiteux du ciel se met au diapason de notre propre incertitude, on peut surprendre parfois l'âme triste du vent, sa mélancolie profonde.
Sans le moindre rayon de soleil, on pourrait penser que l'ombre a vaincu la lumière.
Pourtant, la lumière vient de partout, elle inonde les coeurs, fontaine jaillissante des sourires, douceur des moments voyageurs.
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