mercredi 25 mars 2009
Le sortilège du vent
L'oiseau consolateur

Il faisait froid
C'était un soir gris pour toi
C'était un soir gris pour toi
Des larmes plein le coeur
Tu déversais ta peine
Dans le grenier du ciel
Tu ne savais plus
Ce que signifiait
La majesté du silence
Il faisait frais
C'était un matin sombre
Des cauchemars dans le coeur
Tu errais dans ton âme
Tu déversais ton ennui
Dans le noir des nuages
Et puis, sur le rebord de ta fenêtre
Tu déversais ta peine
Dans le grenier du ciel
Tu ne savais plus
Ce que signifiait
La majesté du silence
Il faisait frais
C'était un matin sombre
Des cauchemars dans le coeur
Tu errais dans ton âme
Tu déversais ton ennui
Dans le noir des nuages
Et puis, sur le rebord de ta fenêtre
Une mésange bleue
Si bleue dans son silence
A chanté pour ton coeur
Sa mélodie si tendre
Si bleue dans son silence
A chanté pour ton coeur
Sa mélodie si tendre
Il faisait meilleur
Ce jour-là, près de l'oiseau consolateur
S'émerveiller

La petite coccinelle qui me faisait rêver
Aux heures bleues de l'enfance
Il suffisait que mon chemin la croise
Pour que ma journée s'émerveille
Depuis, il y a eu d'autres coccinelles
D'autres petits bonheurs
Timides ou solitaires, venus se réfugier
Au ventre de mon coeur
Et je les garde
Pour faire chanter les jours gris
Pour rendre à la vie
Un peu de son meilleur
Il est bon, de s'émerveiller ... d'un petit rien
Que le temps nous offre parfois
Par hasard, en passant, sur le chemin
les beaux jours

Douceur de vivre
Le printemps nous rejoint
Renaissance
Chaque jour se fait plus tendre
Jusqu'au bourgeon d'une cerise
Tout peut encore nous surprendre
Douceur de vivre
Prendre son temps
Respirer cet air neuf
Un sentiment se mélange au passé
Lorsqu'un flocon de neige
Perdu dans le soleil
Va se noyer dans le ciel
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