dimanche 28 juin 2009

la course blonde


La roue éblouissante de l’été
N’en finit pas de tourner
Autour de nous

Combien d’étés
De la naissance à ce dimanche ensoleillé
Combien de temps passé
A chercher le point d’ombre
La fraîcheur étoilée d’une source

J’aime le silence étourdi des saisons
Quand le ciel se fait murmure
Alors, la chanson se fait douce
A nos corps qui sommeillent

Une brise légère pousse ma plume
Voici le vent d’un nouveau jour
L’été prochain se dessine
Dans le coeur d'un instant doré par le soleil

La roue éblouissante de l’été
N’en finit donc jamais ... sa course blonde

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire