jeudi 31 juillet 2008
dimanche 27 juillet 2008
De la vie à l'amour

De la vie à l'amour
Des messages
Comme des appels au secours
Des bouteilles à la mer
Perdues au vent du large
De la vie à l'amour
Des pensées
Comme des fleurs épanouies
Des jardins trop secrets
Et des portes blindées
De la vie à l'amour
Il faut oser
Et toujours recommencer
Ne jamais perdre l'espérance
Aimer, Aimer, Aimer
Des messages
Comme des appels au secours
Des bouteilles à la mer
Perdues au vent du large
De la vie à l'amour
Des pensées
Comme des fleurs épanouies
Des jardins trop secrets
Et des portes blindées
De la vie à l'amour
Il faut oser
Et toujours recommencer
Ne jamais perdre l'espérance
Aimer, Aimer, Aimer
vendredi 25 juillet 2008
La colère

Dans la prison du coeur
Elle s’enferme parfois
Brutale, insolente
Incendiaire et sauvage
Prête à tout détruire sur son passage
Comme un feu de volcan
Prête à changer le bleu en sang
Et le cœur en cendres
Pourtant, il suffirait parfois
D’un appel irrésistible de la forêt
D’un sursaut vrai de l’âme
Pour ne pas se laisser faire
Pour ne pas tomber dans son piège
Pour tuer d’un élan … la colère
jeudi 24 juillet 2008
Maladresse
Il pleut
Je n'ai plus envie

De paroles futiles
Je n'en n'ai plus envie
De mots légers, édulcorés,
évaporés, fragiles
Je n'en n'ai plus envie
De mots légers, édulcorés,
évaporés, fragiles
Je n'en n'ai plus besoin
J'aimerai rendre aux paroles
Le sens du vrai
Que le mot redevienne sacré
Et que l’on ne vienne plus me parler
de caprices, d’un nouveau coup de tête, de drôle d’idée ….
J’aimerai parler pour mieux entendre
Se comprendre ...
Se comprendre ...
Parler en vérité
mercredi 23 juillet 2008
mardi 22 juillet 2008
le chagrin de l'escargot

Minuscule, posé sur un brin de laitue
L'escargot n'en peut plus ...
Il voudrait briser
L'idée reçue de sa lenteur
Pouvoir répondre aux moqueries
Ne plus avoir peur ...
Des souliers pleins de boue sur sa coquille
Il ne peut plus retenir
L'eau torrentielle de ses pleurs
L'escargot, entraîné par les flots
Se laisse glisser sur le voilier du vent
Qui le console, au moins pour un instant
Un ami peut tout entendre
Chers Amis
Désir
lundi 21 juillet 2008
T'entendre chanter
Tu chantes,
alors ta voix-soleil s’élève,
inonde mon ciel
Tu chantes,
délice de t’entendre colporter des paroles
Au-delà des nuages …
alors ta voix-soleil s’élève,
inonde mon ciel
Tu chantes,
délice de t’entendre colporter des paroles
Au-delà des nuages …
dimanche 20 juillet 2008
Naufrage
Ciel d'orage
Des cavaliers de colère et de feu
S'élancent à travers les nuages
Guerriers blessés venus du fond des âges
Le parfum de la terre mouillée ose à peine
Franchir le seuil de nos âmes
S'élancent à travers les nuages
Guerriers blessés venus du fond des âges
Le parfum de la terre mouillée ose à peine
Franchir le seuil de nos âmes
Au loin, timide, un oiseau s'enfuit
L'eau dansera bientôt dans la ruelle
Flaque vive des jours à venir
Ciel d'orage
La loi de la lumière inflige à la nuit
D'un seul coup, d'un seul trait
Les murmures oubliés du silence
Les murmures oubliés du silence
Voie lactée
Voie lactée, surprends moi, sois infidèle
en bleu, en étincelle, sois aquarelle
entraîne moi sur le lit du ciel
pour décolorer le cœur des nuages
jusqu’à faire pleurer puis consoler chaque étoile
et faire hurler de rire, toute la lumière du monde.
en bleu, en étincelle, sois aquarelle
entraîne moi sur le lit du ciel
pour décolorer le cœur des nuages
jusqu’à faire pleurer puis consoler chaque étoile
et faire hurler de rire, toute la lumière du monde.
Contemplation
Champ de blé
Tendresse volée au ciel
Champ de blé
Un ange endormi entre deux soleils
Champ de blé
Mélodie du vent et de la pluie
Entre le bleu et l'infini
Caresse blanche d'un nuage
Champ de blé
Un peu plus loin, sur la route
Tout simplement
Tendresse volée au ciel
Champ de blé
Un ange endormi entre deux soleils
Champ de blé
Mélodie du vent et de la pluie
Entre le bleu et l'infini
Caresse blanche d'un nuage
Champ de blé
Un peu plus loin, sur la route
Tout simplement
Prendre le temps
De comtempler
D'automne en automne ...

Te ramène
Un refrain de chanson
De Brel ou d’ailleurs
Oublié par erreur,
Au tendre diapason
De ton cœur
Tant pis si l’automne
S’amuse de feuille en feuille
A te faire rougir
Ou refleurir, c’est selon
Et voici le caprice
Et le bon gré
D’une nouvelle saison
qui m’inspire
Saison rougissante
Encore adolescente
L’automne aux joues de feu
Fait de son mieux
Pour se montrer légère
L’hiver est loin derrière
Sur le chemin
L’automne séduit les peupliers
Et jusqu’au chêne centenaire
Cherche à nous plaire
Saison enivrante Pour un rien …
D’automne en automne,
Gardons en les parfums
A te faire rougir
Ou refleurir, c’est selon
Et voici le caprice
Et le bon gré
D’une nouvelle saison
qui m’inspire
Saison rougissante
Encore adolescente
L’automne aux joues de feu
Fait de son mieux
Pour se montrer légère
L’hiver est loin derrière
Sur le chemin
L’automne séduit les peupliers
Et jusqu’au chêne centenaire
Cherche à nous plaire
Saison enivrante Pour un rien …
D’automne en automne,
Gardons en les parfums
Un matin

Un matin, l’oiseau blanc de son aile légère
s’envolera au-delà du temps
poussé par le vent d’un autre millénaire
et l’homme puisera, dans l’eau du souvenir,
pour comprendre la fuite violente
des secondes
belle et douce vie qui expire en larmes de satin
sur les épaules des guerriers
des regrets
le rire d’un enfant blessé d’une balle lancée
guerre
belle et douce paix qui gémit en parchemin brûlé
sur des accords oubliés
mémoire tranchée …
s’envolera au-delà du temps
poussé par le vent d’un autre millénaire
et l’homme puisera, dans l’eau du souvenir,
pour comprendre la fuite violente
des secondes
belle et douce vie qui expire en larmes de satin
sur les épaules des guerriers
des regrets
le rire d’un enfant blessé d’une balle lancée
guerre
belle et douce paix qui gémit en parchemin brûlé
sur des accords oubliés
mémoire tranchée …
samedi 19 juillet 2008
mardi 15 juillet 2008
Fuite
Causerie

Cette nuit
J’aurais dû me lever à l’heure dite
Goûter la pleine lune
Et l’harmonie du silence
Il y avait trop de mots
Sur le seuil de ma porte
Il a bien fallu leur ouvrir
Les mettre au chaud
Et maintenant qu’ils sont à l’aise
Qu’ils parlent ou se disputent autour de la table
Ils peuvent bien se moquer de moi !
J’aurais dû me lever à l’heure dite
Goûter la pleine lune
Et l’harmonie du silence
Il y avait trop de mots
Sur le seuil de ma porte
Il a bien fallu leur ouvrir
Les mettre au chaud
Et maintenant qu’ils sont à l’aise
Qu’ils parlent ou se disputent autour de la table
Ils peuvent bien se moquer de moi !
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